Né le 24 août 1934
à Alger



M. ANGELELLI - Professeur d'Histoire et Géographie







Il fait ses études à Alger. Il exerce pour la première fois de 1957 à 1959 à l'ENPA où il remplace M.RAZIGADE.

A l'issue de ses classes au Centre d'Instruction de l'Arme Blindée et de la Cavalerie, il est affecté au 6ème Spahis, au 2ème Bureau, à AIN TAGROUT, en qualité de maréchal des logis jusqu'en janvier 1962. Il y gagnera la croix de la Valeur Militaire. Cette période lui inspirera son livre "Une guerre au couteau".

Après son départ d'ALGERIE en juillet 1962, il sera affecté dans le LOIRET, puis dans l'OISE jusqu'à sa retraite en 1994.

A obtenu en 1972 un doctorat d'Histoire pour une thèse sur "l'Algérie et l'opinion française en 1930".

Plusieurs de ses textes sur l'Algérie ont paru dans différents journaux et publications.

Photographie de l'auteur

JEAN-PAUL ANGELELLI

Nationalité Nationalité

Né en 1934 à Alger (quartier de Bab el Oued) Études primaires, secondaires et supérieures à Alger. Licence d’Histoire- Géographie.
Service militaire de 1960 à 1962 au 3e escadron du 6e régiment de Spahis. Quartier d’Ain Tagrout. Secteur de Bordj Bou Arreridj. Zone Ouest Constantinois. Classé service auxiliaire, maréchal-des-logis, entre au Deuxième Bureau (Renseignement) en octobre 60, y sert jusqu’à la fin du service (janvier 62) Obtient la Croix de la Valeur Militaire avec citation. À sa sortie du service, enseigne (comme son épouse) au Lycée de Tizi Ouzou (Kabylie).
Quitte définitivement l’Algérie fin juillet 1962, avec sa famille. En France, est nommé (avec son épouse) au lycée d’État de Pithiviers (Loiret) de 1962 à 1969. Même spécialité Histoire et Géographie. L’un et l’autre mutés à Beauvais (Oise) .Y enseignent (collèges et lycée Jeanne Hachette) de 1969 à 1994 où ils prennent leur retraite. .Ensuite se sont fixés à Beauvais où ils habitent toujours. En 1964 à Pithiviers, obtention du Capes (Certificat d’aptitude à l’enseignement secondaire) donnant le grade de Certifié.
En 1972 à l’université de Nanterre soutenance d’un doctorat de 3e cycle pour une thèse sur L’Opinion française et l’Algérie en 1930  ,(année du centenaire de l’Algérie française) ce qui donne le titre de docteur en Histoire.

Violon d’Ingres : le journalisme. De 1962 à nos jours collaboration à La Nation française, à Rivarol (quitté en 2010) aux revues Est-Ouest, Écrits de Paris, L’Algérianiste, Nous les Africains, Mémoire Vive.

Centres d’intérêt : l’Histoire de France contemporaine (les guerres mondiales et surtout celles révolutionnaires d’Indochine et d’Algérie), l’’évolution de l’Algérie après l’indépendance (1962) suivie avec attention. Participation à des colloques sur l’Histoire et l’actualité.(Extrait du site Lettropolis).